Les plateformes de médias sociaux comme Twitter, alias X, ont facilité la communication avec de nombreuses personnes. Les utilisateurs peuvent partager n'importe quel contenu en ligne, ce qui peut les exposer à des menaces. Tout ce qui se trouve sur les plateformes sociales est toujours visible par le public. N'importe qui peut obtenir des informations sur n'importe qui par le biais de son compte social. Toutefois, la protection de la vie privée dans les médias sociaux vise à protéger les personnes contre ce type d'exposition.
Beaucoup l'ignorent peut-être, mais il existe un lien entre les médias sociaux et la protection de la vie privée. Certaines lois empêchent les pirates informatiques d'utiliser des informations contre vous. Cet article explique tout ce que vous devez savoir au sujet de votre position et de votre protection.
Quelles sont les lois sur la protection de la vie privée dans les médias sociaux ? Connaître ses droits à la protection
Les lois sur les médias sociaux constituent le lien juridique entre les utilisateurs et les plateformes sociales. Ce sujet est très vaste, mais tout est fait pour protéger vos intérêts. Avant de répondre à vos préoccupations en matière de protection de la vie privée, vous devez comprendre l'étendue des lois sur la protection de la vie privée. Cela peut vous amener à vous demander : "Quelles sont les lois sur la protection de la vie privée dans les médias sociaux ?" Il existe plusieurs lois, mais explorons les principales.
1. Règlement général sur la protection des données (RGPD)
Les organes directeurs européens ont créé le règlement général sur la protection des données (RGPD) afin de protéger les données des citoyens. Cette loi consiste également en un ensemble de lignes directrices qui empêchent les plateformes de médias sociaux d'exporter des données personnelles. En outre, le GDPR protège les utilisateurs de plusieurs manières lors des campagnes sur les médias sociaux.
Tout d'abord, elle interdit le remarketing à moins qu'un utilisateur de médias sociaux n'accepte une telle activité par le biais d'un opt-in ou d'une inscription officielle. En outre, les utilisateurs de médias sociaux doivent accepter les politiques de confidentialité de la marque. Cela peut se produire deux fois si un lien les dirige d'une plateforme de médias sociaux vers des pages de renvoi ou des sites web.
2. La loi sur le "droit à l'oubli
Dans le cadre du GDPR, la loi sur le "droit à l'oubli" permet aux individus et aux organisations d'effacer leurs données. Elle leur donne le droit de demander à certains sites de supprimer leurs informations personnelles de leur base de données. De nombreuses circonstances peuvent amener une personne à faire cette demande. Il peut s'agir d'utiliser les données pour exprimer le droit à la liberté d'expression et d'information. Elles peuvent également être utilisées pour se conformer à une décision ou à une obligation légale.
La raison d'être de ces lois est de protéger les personnes des dangers liés à la divulgation d'informations non pertinentes ou obsolètes. Malheureusement, les États-Unis n'ont pas droit à ces lois, mais la main longue de cette loi les atteint. Elle continue d'influencer les entreprises basées aux États-Unis, comme Google, qui opèrent à l'échelle internationale.
3. Règle de protection de la vie privée des enfants en ligne (COPPA)
Les plateformes sociales ne sont pas réservées aux adultes ; les enfants peuvent également utiliser les comptes de médias sociaux. C'est pourquoi les États-Unis ont adopté la loi COPPA pour protéger leur vie privée. Cette loi impose des exigences spécifiques aux exploitants de sites web et aux services en ligne pour protéger les enfants de moins de 13 ans. Les sites doivent obtenir le consentement vérifiable des parents avant de collecter ou d'utiliser les informations personnelles des jeunes utilisateurs.
En outre, elle restreint divers types et méthodes de marketing ciblant les utilisateurs de moins de 13 ans. Le seul problème que pose cette loi est de connaître l'âge de l'utilisateur des médias sociaux. TikTok a fait l'objet de poursuites judiciaires pour avoir recueilli des informations auprès d'enfants mineurs. La plateforme a dû payer 5,7 millions de dollars pour mettre fin aux allégations dont elle faisait l'objet. Après cela, TikTok a ajouté une section sur son application pour les enfants de moins de 13 ans.
Cette section comprend des fonctionnalités supplémentaires en matière de sécurité et de respect de la vie privée. Elle a également modifié les paramètres de confidentialité pour les utilisateurs âgés de 13 à 17 ans afin de leur permettre de contrôler la messagerie et le partage de vidéos. Bien que les parents soient souvent chargés de protéger la vie privée des enfants, ce n'est pas toujours le cas. Les parents peuvent porter atteinte à la vie privée de leurs enfants en publiant des photos en ligne ou en les identifiant dans des blogs. Malheureusement, il n'existe pas de loi sur les médias sociaux pour protéger la vie privée des enfants dans ces situations.
Loi californienne sur la protection de la vie privée des consommateurs (CCPA)
Bien que les États-Unis ne disposent pas du GDPR, la loi californienne sur la protection de la vie privée des consommateurs (California Consumer Privacy Act) suffit. C'est ce qui se rapproche le plus du GDPR dans le pays. Cette loi protège le droit à la vie privée des consommateurs et leur donne plus de pouvoir sur leurs informations personnelles. Elle limite la liberté des entreprises technologiques telles que Google de collecter des données.
La loi pourrait également avoir un impact sur les données que des plateformes comme Twitter et Facebook peuvent collecter à votre sujet. La plus grande inquiétude concerne les données obtenues par des tiers, comme des applications ou des sites web. L'avantage est que cette loi permet aux utilisateurs de contrôler le partage et l'utilisation de leurs données.
5. Projet de loi sur les médias sociaux et la protection de la vie privée en ligne
L'Australie a introduit en 2022 le projet de loi sur les médias sociaux (anti-trolling) et la protection de la vie privée en ligne afin de protéger ses citoyens en ligne. Le projet de loi anti-trolling classe formellement les fournisseurs de services de médias sociaux comme éditeurs de tout commentaire sur leurs plateformes en Australie. Toutefois, les plateformes de médias sociaux peuvent bénéficier d'un système de plaintes pour éviter la diffamation.
Ce système permet aux victimes de commentaires diffamatoires de se plaindre et de demander les informations personnelles du véritable commentateur. D'autre part, le projet de loi sur la protection de la vie privée en ligne incite les plateformes de médias sociaux à vérifier l'âge des utilisateurs. En cas de violation de la vie privée, les entreprises pourraient se voir infliger une amende correspondant à 10 % de leur chiffre d'affaires annuel.
Les lois expliquées ci-dessus visent à protéger les utilisateurs de différents groupes d'âge. Cependant, chaque pays peut avoir d'autres lois qui s'appliquent à sa situation géographique. Notez que ces lois ne sont que quelques-unes des principales.
Problèmes courants de protection de la vie privée dans les médias sociaux : Problèmes menaçant votre sécurité
Il ne suffit pas de comprendre les lois sur la protection de la vie privée ; il faut aussi connaître les problèmes courants liés à la protection de la vie privée dans les médias sociaux pour être parfaitement en règle. Tout le monde doit les comprendre pour protéger les individus et les organisations sur les plateformes sociales. Ils aident également les services de médias sociaux à protéger les données des clients et à rester crédibles. Après tout, il n'est pas possible de répondre aux préoccupations en matière de protection de la vie privée sans identifier les problèmes.
1. Violation de données
Les plateformes sociales exigent certaines informations personnelles pour enregistrer et reconnaître les utilisateurs. Cependant, les pirates informatiques peuvent utiliser ces informations à des fins malveillantes. Les pirates volent ces données et les utilisent pour des missions dangereuses telles que les escroqueries par hameçonnage. Ils peuvent également les utiliser pour recueillir davantage d'informations en vue de commettre de graves délits en ligne. C'est pourquoi les services de médias sociaux doivent créer une défense contre les violations de données.
Néanmoins, tout le monde peut être confronté à ce problème. Vous devriez informer vos clients de changer leurs mots de passe en cas de violation de données. Il existe également des mesures de sécurité telles que l'authentification à deux facteurs sur Twitter. Les plateformes sociales devraient informer les utilisateurs des escroqueries par hameçonnage afin de les sensibiliser et d'instaurer un climat de confiance.
2. Partage de données avec des tiers
De nombreux services tiers ont un accès légal aux données des plateformes de médias sociaux. Cet accord permet l'intégration de différents services. Cependant, il expose également les utilisateurs à des risques importants en matière de protection de la vie privée. Parfois, les utilisateurs peuvent autoriser des tiers à vendre ou à partager leurs données sans le savoir. C'est pourquoi il est essentiel de lire avant de signer l'accord sur les conditions de service ou d'accepter les cookies.
3. Exploration de données
Il est facile d'usurper l'identité d'une personne grâce aux informations publiques disponibles sur les médias sociaux. L'exploration de données peut aider les escrocs à obtenir les informations parfaites pour cibler les victimes. Pour des raisons malveillantes, ils peuvent obtenir des noms d'utilisateur, des adresses physiques, des numéros de téléphone et des adresses électroniques. Ces informations sont suffisantes pour cibler les utilisateurs avec des escroqueries par hameçonnage. Les escrocs peuvent également recueillir d'autres informations telles que les numéros de sécurité sociale, les mots de passe divulgués et les numéros de carte de crédit.
4. Harcèlement et cyberintimidation
Plusieurs cas de personnes recevant des messages menaçants se sont produits au fil des ans. De nombreux enfants et adultes sont confrontés à des réactions négatives de la part de leurs collègues et de leurs pairs pour des questions insignifiantes. La cyberintimidation peut prendre la forme de messages envoyés aux comptes de médias sociaux de la victime. Il peut également s'agir de messages ou de commentaires publics inappropriés visant à harceler les victimes.
Il existe différentes formes de cyberintimidation, mais le Doxxing est l'une des plus courantes. Le Doxxing consiste à partager des contenus nuisibles sur des personnes, comme la révélation de leur numéro de téléphone, de leur adresse ou de leurs photos personnelles. Le but est de causer de l'embarras, du tort ou de l'humiliation. Il sert également à encourager d'autres personnes à harceler la victime en ligne.
5. Violation des paramètres de confidentialité
Bien que les utilisateurs puissent régler leurs paramètres de confidentialité pour n'autoriser que leurs amis, cela n'est pas totalement sûr. Ces amis proches peuvent réafficher ou commenter l'information, et leurs amis peuvent également voir l'information. L'information n'est donc plus privée. Même les membres de groupes fermés peuvent publier le contenu du groupe, et les messages des médias sociaux peuvent faire l'objet d'une recherche.
6. Paramètres de localisation
Désactiver la localisation de votre appareil ne garantit pas votre sécurité. L'utilisation du WiFi public, des sites web et des antennes de téléphonie mobile peut toujours permettre de localiser n'importe qui. Certaines applications permettent également de localiser n'importe quel appareil. Il est essentiel de s'assurer que les services de localisation GPS sont désactivés. Vous pouvez également naviguer par l'intermédiaire d'un réseau privé virtuel (VPN) pour éviter le suivi direct. Cela peut sembler anodin, mais la combinaison de la localisation et des informations personnelles peut fournir des informations précises sur un utilisateur.
Comment protéger votre vie privée sur les médias sociaux : Conseils pour rester en sécurité
Maintenant que vous connaissez les risques qui vous guettent, vous vous demandez peut-être comment protéger votre vie privée sur les médias sociaux. Heureusement, il est facile de se protéger en suivant les bons conseils.
Voici dix conseils pour vous aider :
- Lisez toujours les conditions de confidentialité des plateformes de médias sociaux avant d'ouvrir un compte. Soyez particulièrement attentif aux informations que vous enregistrez et que vous acceptez de partager.
- Naviguez sur la plateforme pour vérifier la visibilité de votre message et son audience avant de le partager.
- Vérifiez les politiques de confidentialité de la plateforme et assurez-vous qu'elle protège vos informations.
- Vérifiez et ajustez vos paramètres de confidentialité pour limiter les informations que des tiers peuvent obtenir.
- Limitez la quantité d'informations personnelles que vous permettez au public de voir. Il peut s'agir de votre nom complet, de votre âge, de votre date de naissance, de votre numéro de téléphone, de votre adresse électronique ou de votre adresse physique.
- Évitez de divulguer des informations sur vos comptes, telles que votre numéro de sécurité sociale, votre lieu de travail, vos informations bancaires et vos centres d'intérêt.
- Faites des recherches sur les comptes à partir des informations de leur profil avant d'accepter des demandes d'amis ou de suivi.
- Désactivez toujours la géolocalisation de votre appareil pour éviter de divulguer des informations sur les lieux que vous visitez fréquemment.
- Vérifiez les photos avant de les publier en ligne afin d'éviter de révéler trop d'informations.
- Évitez les liens "clickbait" qui promettent des récompenses incroyables ou des quiz pour évaluer votre futur mode de vie.
Comment gérer la confidentialité sur X : la confidentialité sur Twitter
X, anciennement Twitter, donne à ses utilisateurs la liberté de contrôler leur vie privée. Bien qu'il existe des politiques de confidentialité sur X, plusieurs ajustements permettent de gérer la confidentialité sur X. Comprendre comment modifier les paramètres de confidentialité sur Twitter est facile pour tout le monde. Il suffit d'accéder au menu des paramètres et d'utiliser les options disponibles.
Il est réalisable en quatre étapes :
- Accédez à votre compte sur le site Web ou l'application mobile de X.
- Sélectionnez "Plus" dans la barre latérale gauche de la version du site web et cliquez sur "Paramètres et assistance" dans le menu déroulant. Appuyez sur l'icône de profil dans l'interface de l'application et sélectionnez "Paramètres et assistance".
- Ensuite, sélectionnez "Paramètres et confidentialité" dans le menu déroulant.
- Choisissez "Confidentialité et sécurité" sur la page suivante pour accéder aux différents paramètres permettant de contrôler votre compte.
Vous pouvez y contrôler vos publications, vos flux, vos messages directs, la possibilité de les découvrir, le partage des données, la localisation et bien plus encore. Si le fait de régler les paramètres de votre compte peut vous permettre de préserver votre vie privée, il se peut que cela ne s'applique pas à vos publications antérieures. La suppression de vos anciens messages vous donnera un nouveau profil et empêchera les gens d'accéder à ces informations. TweetEraser est un outil puissant qui permet d'effacer plusieurs tweets à la fois.
Avec un outil comme celui-ci, qui programme la suppression automatique des messages, vous n'aurez plus à vous soucier de la confidentialité de vos données sur les médias sociaux. Il vous garantit également la suppression de votre historique Twitter afin que des tiers ne puissent pas y accéder. Le plus beau, c'est qu'il fonctionne sans vous déranger avec du contenu promotionnel. Alors, commencez à filtrer et à effacer votre timeline X dès aujourd'hui!